le Mikvé est ouvert tous les jours sur rendez vous uniquement.
Il est préférable de prendre RDV au moins 24h avant
votre venue afin de vous recevoir dans les meilleures conditions.
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💦🪷🍃💦🪷🍃💦🪷🍃💦🪷 PLANNING MIKVÉ
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Les balanites sont heureuses de vous recevoir tous les soirs au Mikvé Haya Mouchka du Val d' Yerres. Merci de prendre rendez-vous au plus tard avant 19h.
Me Sellam au:
06 50 90 78 14
Pour le Mercredi et le dimanche.
Mme Sides au:
06 35 40 87 32
Pour le Lundi.
Mme Mimoun au:
06 01 84 49 60
Pour le Mardi, Jeudi et Vendredi.
Mme Flesher au:
06 24 28 15 55
pour le Motsé Chabbat.
Si vous souhaitez vous préparer au Mikvé, il est préférable de prévenir la balanite lors de la prise de rendez-vous afin qu'elle puisse prendre ses dispositions, et convenir avec vous.
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Votre règlement :
Le tarif est de 15 €
( sauf cas exceptionnel 20 €)
☆Par chèque ou par espèce dès votre arrivée à l' accueil du Mikvé.
☆Par carte bancaire dès votre arrivée à
l' accueil du Mikvé.
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D' autre part,
Nous avons mis en place tous ces modes de règlement pour vous satisfaire au mieux.
Toutefois, si vous avez la possibilité de régler votre Mikvé par chèque ou par espèce, cela nous permettra d'assurer une meilleure gestion financière interne.
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L’immersion dans un Mikvé a constitué la voie royale pour accéder à la pureté depuis la création de l’homme. Le Midrache raconte qu’après avoir été chassé du jardin d’Éden, Adam s’est assis dans une rivière qui provenait du jardin d’Éden. Cela faisait partie intégrante du processus de téchouva (repentance), dans sa tentative de retrouver sa perfection originelle.
Avant la révélation du Sinaï, tous les Juifs avaient reçu l’ordre de s’immerger afin de se préparer à la future rencontre avec D.ieu.
L’immersion dans un Mikvé a constitué la voie royale pour accéder à la pureté depuis la création de l’homme. Dans le désert, le fameux « puits de Myriam » servait de Mikvé. Et l’intronisation d’Aaron et de ses fils dans leur fonction de prêtres fut marquée par leur immersion dans le Mikvé.
À l’époque du Temple, les prêtres – tout comme chaque Juif souhaitant entrer dans la Maison de D.ieu – devaient, avant toute chose, se tremper dans le Mikvé.
À Yom Kipour, le jour le plus saint de l’année, le grand-prêtre était autorisé à pénétrer dans le Saint des Saints, l’endroit le plus intime du Temple, où nul autre mortel ne pouvait entrer. C’était le moment le plus important de ce jour au cours duquel le service divin était marqué par une succession d’étapes dont la sainteté allait en augmentant et chacune d’entre elles était précédée d’une immersion dans le Mikvé.
Aujourd’hui, les utilisations essentielles du Mikvé sont déterminées par la loi juive et datent des origines du Judaïsme. Elles concernent plusieurs domaines de la vie juive. Le Mikvé fait notamment partie intégrante du processus de conversion au Judaïsme. Le Mikvé est également utilisé, bien que cela soit moins connu, pour l’immersion de la vaisselle et des récipients neufs, avant qu’ils ne soient utilisés par un Juif. Le concept du Mikvé est aussi l’élément principal du processus de la tahara, le rite de purification des personnes décédées, avant qu’elles ne soient mises en terre et que l’âme ne s’élève dans les mondes supérieurs. C’est dans ce but que l’on verse une certaine quantité d’eau d’une façon très particulière sur tout le corps du défunt.
Beaucoup d’hommes vont au Mikvé la veille de Yom KippourOutre le rite de conversion, certains hommes ont la coutume d’aller au Mikvé. Les futurs mariés ont l’habitude de se tremper le jour de leur mariage et beaucoup d’hommes le font également la veille de Yom Kippour. Beaucoup de ‘hassidim vont au Mikvé la veille du Chabbat et des fêtes, certains se trempent même chaque jour avant la prière du matin (dans les villes qui ont une importante communauté orthodoxe, des Mikvés sont réservés aux hommes afin de faciliter ces pratiques). Mais l’usage le plus important et le plus commun, c’est l’utilisation qu’en font les femmes après leur période de menstruation.
Pour les femmes qui ont leurs règles, l’immersion dans le Mikvé fait partie d’un cadre plus vaste, connu sous le nom de Taharat HaMichpaha (la Pureté Familiale). Comme dans tous les domaines de la pratique juive, la Pureté Familiale comprend un ensemble de lois détaillées relatives au « quand », au « quoi » et au « comment » de cette pratique. Pour acquérir familiarité et confort vis-à-vis de cette mitsva, rien ne vaut une étude avec une femme compétente et expérimentée dans ce domaine. Dans les villes ou les quartiers qui ont une importante population juive, il peut y avoir des cours collectifs sur le sujet. La plupart des femmes, cependant, accèdent à cette connaissance dans le cadre plus personnel de cours particuliers. Bien que les livres ne puissent guère se substituer à une enseignante experte en la matière, certains ouvrages peuvent être utilisés comme guides ou comme référence (voir la bibliographie proposée en annexe). Ce qui suit est un bref aperçu de ces lois. Cela ne constitue pas – et n’a pas la prétention d’être – un substitut à l’étude de ce sujet si particulier.
La Pureté Familiale est une procédure basée sur le cycle périodique féminin. Dès le début de la période de menstruation et pendant les sept jours qui suivent la fin des règles, jusqu’à ce que la femme s’immerge dans le Mikvé, mari et femme ne peuvent avoir de relations conjugales. Pour éviter de transgresser cet interdit, les époux doivent éviter les contacts physiques, se garder de toute expression physique de leur affection mutuelle et s’abstenir d’actions de nature à susciter l’intimité conjugale. Le terme employé pour décrire une femme qui se trouve dans cette situation est Niddah (dont le sens littéral est « être séparée »).
Exactement une semaine après avoir constaté la fin de ses règles, la femme se rend au Mikvé. L’immersion a lieu à la tombée de la nuit du septième jour et nécessite une toilette préalable. L’immersion est valide seulement si l’eau du Mikvé recouvre chaque partie du corps, y compris toute pilosité. À cet effet, la femme se lave, fait un shampoing, peigne ses cheveux et retire de son corps tout ce qui pourrait faire obstacle à son immersion totale dans les eaux du Mikvé.
L’immersion dans le Mikvé est le moment le plus important du processus de Taharat HaMichpa’ha. C’est un moment très particulier pour la femme qui a suivi tout le processus requis par cette mitsva et qui s’est préparée pour ce moment important. Cependant, la femme peut parfois se sentir sous pression ou angoissée par rapport à ce rite ou pour toute autre raison. Il faut donc qu’elle se détende et qu’elle réfléchisse pendant quelques instants à l’importance de l’immersion ; elle doit se plonger sans précipitation dans les eaux du Mikvé. Après s’être trempée une fois, la femme se tient debout dans le Mikvé et récite la bénédiction requise pour le rituel de purification, puis selon la coutume la plus répandue, elle se plonge encore deux fois dans l’eau. De nombreuses femmes profitent de ce moment favorable pour faire des prières personnelles et pour s’adresser à D.ieu. Après l’immersion, mari et femme peuvent de nouveau avoir des relations conjugales.
Les relations maritales sont souvent comparées au Saint Temple des relations humaines.
Et l’entrée dans le Saint Temple est – et reste toujours – liée à la pureté rituelle.
Bien qu’actuellement nous ne puissions plus servir D.ieu concrètement dans le Temple de Jérusalem, nous pouvons cependant ériger un espace sacré à l’intérieur de nos vies. L’immersion dans le Mikvé est la passerelle qui conduit à une vie conjugale épanouie.
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La Pétition...
Témoignages...
Ce, fut l'une des réunions les plus émouvantes qu'ont jamais organisée les femmes Loubavitch de Nice en présence de Madame Pinson, femme du Rav Pinson, délégué du Rabbi à Nice.
Cela s'est passé il y a quatre ans. Avec grand enthousiasme le Rabbi avait longuement parlé de la famille et du nombre d'enfants, allant ainsi à contre courant de l'idée du contrôle des naissances largement répandue à cette époque. Un groupe de femmes stériles de New-York écrièrent au Rabbi qu'elles désiraient elles aussi participer à la Mitsvah de mettre au monde un grand nombre d'enfants mais qu'elles étaient privées de la joie de pouvoir le faire, étant stériles.
Une femme de New-York contacta par téléphone toutes les femmes des délégués du Rabbi et leur demanda de joindre une liste de toutes les femmes stériles de leur région.
Dix femmes de Nice signèrent cette pétition avec beaucoup d'émotion et aussi beaucoup de foi. Certaines d'entre elles étaient mariées depuis huit ou dix ans sans avoir eu d'enfants, d'autres étaient surie point de divorcer à cause de ce problème !
Les dix femmes de Nice ont eu cette année...là un enfant !...
A Roch 'Hodèche Kislev, toutes les femmes de Nice se sont réunies pour fêter ce miracle.
Tout le monde pleurait en écoutant l'histoire émouvante de ces dix femmes…
Le Brevet...
Un Baal Techouva fît la guerre de Kippour sur le front syrien et, par ]a suite, fut obligé de quitter le pays. Il s'insta]]a en Angleterre où i] vit actuellement en véritable pratiquant.
Il est technicien et travaille dans une usine de la ville de Sheffield. II s'est rapproché de loubavitch et respecte véritablement la Torah et les Mitsvot. A plusieurs reprises, il voulut abandonner son travail pour aller habiter à Londres ou à Manchester afin d'avoir un entourage juif. Mais le Rabbi ne le lui permit jamais et lui dit « Pourquoi ne serais-tu pas le Chlia'h (délégué) à Sheffield? »
Il vit effectivement là-bas depuis plusieurs années et a réalise dans le domaine du Judaïsme de véritables révolutions.
En Tichri 1981. il était en Ye'hidout (entretien individuel),chez le Rabbi et lui
confia qu'il n'y avait pas d'institution scolaire pour ses enfants, que sa femme devait voyager plusieurs heures pour aller au Mikvé. Il lui fit part d'autres difficultés et lui demanda donc de
déménager.
Le Rabbi lui répondit
Continue à habiter là-bas. Prends un brevet sur une certaine invention et tu en tireras les fonds nécessaires pour vivre largement, faire un Mikvé, et assurer l'éducation des enfants. Tu dois également vérifier la Chehita (abattage rituel) de la ville.
Il objecta :
« A ma connaissance, il n'y a pas de Cho'het(sacrificateur) dans la ville, et nous faisons venir notre viande de Manchester, Mais le Rabbi répéta Tu dois vérifier ]a Chehita de la ville.
Revenu chez lui, il fit une enquête et s'aperçut qu'un certain Cho'het vendait de la viande dans la ville. Il découvrit qu'il vendait de la viande Taref (non cacher), en la faisant passer pour cachère. Il remédia bien sûr immédiatement à la situation. Puis il commença à rechercher le brevet dont le Rabbi lui avait parlé en Ye'hidout. Il trouva üne invention sur laquelle son père avait commencé à travailler. Mais elle avait été rejetée auparavant et l'on n'en avait plus parlé. Il décida de reprendre l'invention pour faire suite à ce que le Rabbi lui avait dit. Il parvint finalement à déposer un brevet. Il présenta l'invention à la compagnie qui demanda ce qu'il exigeait en échange, il reprit les termes du Rabbi : « Vivre largement, faire un Mikvé et assurer l'éducation des enfants ». La compagnie accepta ses conditions. Il fut nommé directeur. La construction du Mikvé commença et une école juive religieuse fut ouverte. La compagnie a déjà investi plus d'un demi million de livres sterlings. Un Chlia'h de 'Habad s'installa dans la ville pour diriger l'école et le Centre 'Habad.
Promesse...
Ra’hamim Hansav termina ses études, il épousa Hélène et, au bout de sept ans, ils n'avaient toujours pas d'enfants. Ils consultèrent bien sûr des médecins, mais rien n'y fit. Ils en conçurent de la peine et du désespoir, d'autant que les médecins ne leur laissaient entrevoir aucune lueur d'espoir. Or, D-ieu guide les pas de l’homme, et il y a deux ans, il vint avec sa femme visita ses proches de Taana'h. Nous nous rencontrâmes, et il me raconta tout. Il me demanda lui-même d'écrire au Rabbi pour obtenir sa bénédiction et son conseil.
Deux mois plus tard je reçus une réponse du Rabbi dont voici la traduction :
Par la grâce de D-ieu, 3 Kislev 5742
Brooklyn N-Y
à Ra'hamim et sa femme, puisse D-ieu leur
accorder longue vie
Je vous salue et vous bénis.
J'ai bien reçu votre lettre avec votre demande de
bénédiction. En un moment propice, Celle-ci sera lue sur le tombeau du Rabbi précédent.
Ils doivent respecter scrupuleusement ïes lois de la pureté familiale (Niddah, Hefsek Tahara. Tévila dans un Mikvé cacher. etc.). Un manque de connaissance entraîne un manque
de pratique. Ils doivent consulter un Rav pour déterminer les détails de tous ces points afin de les respecter. Tout ceci s'accompagnera d’un comportement quotidien en accord avec !es enseignements de notre Torah, Torah de vie, et l'accomplissement de ses Mitsvot,
dont il est dit : « il vivra en elles». En plus du fait essentiel qu'elles constituent l’expression de !a volonté de D-ieu, elles sont donc également le moyen de recevoir la bénédiction pour tout ce dont l'homme a besoin
Avec ma bénédiction
Mena'hem M. Schneerson
La joie était bien sûr très grande. J'étais sûr qu'un miracle allait se produire. J'appelai Ra'hamim et lui annonçai la nouvelle réjouissante. Je lui soulignai plusieurs fois qu'il devait respecter les moindres détails de la lettre et qu'il devait s'adresser avec sa femme, à des 'Hassidim de la ville d'Akko pour apprendre tous les détails des bois de ]a pureté familiale. Il était impossible de décrire verbalement son grand enthousiasme et sa confiance sincère dans le Rabbi. Il agit dès le lendemain de notre conversation. Il le fit rapidement et à pas de géant. Ils étudièrent tout et respectèrent ces lois scrupuleusement. Ceci leur ajouta bien sûr de la foi en D-ieu et en Moché Son serviteur. Un peu moins d'un an plus tard Ra'hamim et Hélène eurent des jumeaux. Le premier fut appelé Inon et le second, Yaïr.